Lake Louise (Ab) – Banff (Ab)
Le camping de Lake Louise est immense, 180 places sur deux rangées donc tout en longueur mais le train passe toute les deux heures et siffle au passage ce qui fait que pour ceux qui ont le sommeil léger comme moi, la nuit n’a pas été longue. Raynald, lui n’a rien entendu, évidemment…. Ce matin, nous nous levons avec un maigre 5 degrés. Le ciel nuageux mais je crois que nous aurons une plus belle journée qu’hier.
Après un bon petit déjeuner et avoir préparer le pique-nique, nous partons en direction du Lac Louise que nous avons déjà vu en hiver mais jamais en été. Comme nous sommes assez de bonne heure, il n’y a pas encore foule. Nous avons le temps d’admirer le paysage et la splendeur du lac, le silence, les peintres qui sont déjà à l’œuvre en espérant reproduire sur toile la splendeur du site. Ce qui n’est pas toujours réussi, mais bon… Nous avons la chance d’avoir une percée à travers les nuages, sur le glacier qui se reflète dans l’eau si verte du lac. Il fait vraiment frisquet mais la beauté qui nous entoure nous impose l’immobilité face au paysage, le silence et l’admiration. N’est-il pas beau mon homme sur fond du Lac Louise ?????
Après un bon petit déjeuner et avoir préparer le pique-nique, nous partons en direction du Lac Louise que nous avons déjà vu en hiver mais jamais en été. Comme nous sommes assez de bonne heure, il n’y a pas encore foule. Nous avons le temps d’admirer le paysage et la splendeur du lac, le silence, les peintres qui sont déjà à l’œuvre en espérant reproduire sur toile la splendeur du site. Ce qui n’est pas toujours réussi, mais bon… Nous avons la chance d’avoir une percée à travers les nuages, sur le glacier qui se reflète dans l’eau si verte du lac. Il fait vraiment frisquet mais la beauté qui nous entoure nous impose l’immobilité face au paysage, le silence et l’admiration. N’est-il pas beau mon homme sur fond du Lac Louise ?????
Puis lorsque les autobus commencent à déverser leurs dizaines de passagers de tous horizons, surtout des asiatiques, nous décidons de fuir. Nous allons vers le lac Moraine qui est moins réputé mais qui selon les dires du jeune homme qui nous a renseigné hier au centre d’information, est plus beau encore. Nous y voici donc parti.
Sur la petite route étroite qui monte en lacet le long de la montagne, et qui surplombe toute la vallée de Lake Louise, nous commençons à découvrir un panorama grandiose. Malheureusement, nous ne voyons pas toutes les cimes car il y a encore beaucoup de brume mais nous n’en finissons plus de nous extasier devant ces montagnes majestueuses. Nous pouvons bien apercevoir le glacier qui brille au soleil, avec son épaisseur de plusieurs mètres de glace sur le haut de la montagne. C’est alors que nous arrivons au Lac Moraine. Nous restons stupéfait devant ses montagnes qui comme pour nous accueillir se sont ensoleillées. Nous n’avons pas de mots, il faut juste admirer. On en profite pour prendre quelques photos, évidemment et on s’assoit sur un rocher glacé, car il ne fait toujours que 5 degrés et on admire en silence. Un chipmunk vient jouer avec nous pendant quelques minutes. Il est très cabotin et nous laisse en plan aussitôt qu’il se rend compte que nous n’avons pas de nourriture à lui donner. Nous avons passé beaucoup plus de temps au Lac Moraine qu’au Lac Louise et je suis reconnaissante au jeune homme de l’information de m’avoir conseillé de venir voir ça. En ce qui nous concerne, le lac Louise est spécial de par la couleur de ses eaux mais le lac Moraine dont les eaux ne sont pas moins vert bleu est beaucoup plus majestueux et à couper le souffle. Il n’est pas beaucoup plus grand que le lac Louise mais il est surtout plus sauvage et moins fréquenté. Enfin pour l’instant !!!!
Puis, toujours sur le conseil de notre monsieur de l’information nous avons pris la Bow Trail au lieu de la route transcanadienne pour rejoindre Banff. C’est une petite route, peu fréquentée et ravissante qui longe la Bow River, et ses eaux vertes, et qui est parallèle à la route transcanadienne. Décidément le jeune, il connaît son affaire. C’est splendide. Nous allons parcourir 59 km de beauté sauvage et magnifique. Par moment sous les nuages, par moment sous le soleil et même sous quelques gouttes de pluie. Nous avons dîné aux pieds de Castel Mountain qui de minutes en minutes changeait d’apparat afin de se faire prendre en photo plus souvent. La Bow River n’en était pas non plus en reste avec ses eaux vertes blanchâtres. Nous n’avions, encore une fois, pas assez de grands yeux pour tout admirer. Même le train s’est mis de la partie car ses rails qui sillonnent le long de la Bow River. Tout le long de la route, nous nous sommes arrêtés pour prendre des photos, admirer le paysage, le ciel nuageux sur un pic, le train le long de la rivière ou un méandre d’un bleu particulier. Sur la petite route étroite qui monte en lacet le long de la montagne, et qui surplombe toute la vallée de Lake Louise, nous commençons à découvrir un panorama grandiose. Malheureusement, nous ne voyons pas toutes les cimes car il y a encore beaucoup de brume mais nous n’en finissons plus de nous extasier devant ces montagnes majestueuses. Nous pouvons bien apercevoir le glacier qui brille au soleil, avec son épaisseur de plusieurs mètres de glace sur le haut de la montagne. C’est alors que nous arrivons au Lac Moraine. Nous restons stupéfait devant ses montagnes qui comme pour nous accueillir se sont ensoleillées. Nous n’avons pas de mots, il faut juste admirer. On en profite pour prendre quelques photos, évidemment et on s’assoit sur un rocher glacé, car il ne fait toujours que 5 degrés et on admire en silence. Un chipmunk vient jouer avec nous pendant quelques minutes. Il est très cabotin et nous laisse en plan aussitôt qu’il se rend compte que nous n’avons pas de nourriture à lui donner. Nous avons passé beaucoup plus de temps au Lac Moraine qu’au Lac Louise et je suis reconnaissante au jeune homme de l’information de m’avoir conseillé de venir voir ça. En ce qui nous concerne, le lac Louise est spécial de par la couleur de ses eaux mais le lac Moraine dont les eaux ne sont pas moins vert bleu est beaucoup plus majestueux et à couper le souffle. Il n’est pas beaucoup plus grand que le lac Louise mais il est surtout plus sauvage et moins fréquenté. Enfin pour l’instant !!!!
À Banff, la foule… Les autobus, les bagos, les touristes qui traversent à droite et à gauche. Affolant. En plus, Banff est en train de se refaire une beauté et le centre ville est totalement défiguré par des travaux qui se font sur toute la rue principale. Des grillages, des palissades, de la poussière, des bruits de machinerie, enfin rien de très attrayant. Nous décidons donc de prendre le chemin qui mène aux gondoles. Lorsque nous y étions venus l’hiver, il ne faisait pas beau et nous n’y étions pas montés. Et bien cette année, c’est la même chose. Malgré un début de montée qui se promet agréable, tout le haut de la montagne est dans le brouillard. Et pas juste celle là toute la ceinture de montagnes qui entoure Banff, est dans la purée de pois. Donc encore une fois nous devrons revenir pour en profiter. Nous faisons quand même un tour à pied sur le site et nous décidons de rentrer tranquillement par la transcanadienne vers le Lake Louise.
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