Eh oui, avec les beaux jours qui reviennent, la fith wheel reprend aussi du service. Après un grand ménage, car certaines petites bêtes avaient décidées de profiter la fith wheel pour passer l'hiver au chaud et une vérification mécanique annuelle, nous étions prêts à débuter la saison.
Pour notre première sortie de 2010, en compagnie de nos amis Gilbert et Johanne, nous avons planifié une fin de semaine dans la région de Chaudière-Apalache. Plus précisément, nous sommes allés camper à Montmagny avec le but d'aller visiter la Grosse île ou l'ile de la
quarantaine. Nous avons profité de la fin de semaine de la fête de la Reine, de Dollars ou des Patriotes dépendant le choix que vous en faites pour mettre notre plan à execution. 3 jours de paix, de plaisirs et surtout de très grand beau et chaud temps.
Après nous être retourvé au Camping de Pointe aux oies à Montmagny où nous avions des sites spacieux et agréables sur le bord du fleuve, nous avons débuté notre fin de semaine par une petite balade en vélo dans les rues de Montmagny, histoire de compléter nos emplètes de victuailles. Notre premier souper était composé de homards et de crabes pour célébrer les anniversaires de nos hommes qui chaque année veillissent la même journée. Je vous laisse imaginer le plaisir que nous avons eu à cuire et surtout à déguster ces petites (pas si petites que ça) bêtes en pleine air.... Après un bon souper, un agréable moment autour d'un feu de camp à admirer les é
toiles, l'heure du couché était déjà là.
C'est sous un magnifique soleil que nous nous sommes réveillés et après un petit déjeuner et une préparation de pique nique dans la bonne humeur, nous voici partis vers le quai de Berthier où nous embarquions sur un zodiaque en direction de la Grosse Île.
Située au milieu fleuve Saint-Laurent, la Grosse-Île surplombe l'archipel de L'Isle-aux-Grues. Longue de 2,9 km sur 1 km de large, située dans l’estuaire du Saint-Laurent, à 46 km en aval de Québec, ce fut la station de quarantaine pour le port de Québec en étant la principa
le porte d'entrée des immigrants au Canada jusqu'à la Première Guerre mondiale. Témoin de drames humains et de dévouement exceptionnel du personnel, la Grosse Ile, ou plus 7000 personnes sont enterrées dont la majorité étaient des victimes des épidémies de typhus et de choléra, a marqué 
l’histoire de notre pays.
Une pandémie de choléra provenant de l’Inde se propage à partir de 1826 et frappe les Îles Britannique à partir de 1831. La Chambre du Bas-Canada vote une loi qui permet d’ouvrir la Grosse île, dès le printemps 1932, comme station de quarantaine, afin de protéger les colonies. Malheureusement, cette précaution se solde par un échec et prêt de 4000 personnes décèderons du choléra à Québec en 1842.
Dès 1830, l’Irlande dont la population à subit un boom démographique sans précédant, avec une population de plus de 8 millions d’habitants, connaît une succession de mauvaises récoltes qui accentuent les problèmes alimentaires car le pays est frappé par le mildiou, un champignon s’attaquant aux plants de tom
ates et de pommes de terre. Ce qui engendre une terrible famine, la pomme de terre étant l’aliment de base de la population. Afin de fuir la grande famine et de rechercher un avenir meilleur, 100 000 immigrants dont 95% proviennent d’Irlande arrivent au Québec
De ces 100 000 immigrants quittant l’Europe vers le Canada, 20 % décèdent avant d’atteindre leur destination. Malgré tous les efforts mis en place, uniquement en 1832, 5 424 personnes seront enterrées à la Grosse Île. Le typhus, et la diphtérie sont les causes premières de ce taux de mortalité inhabituel, touchant autant les immigrants que le personnel
dévoué de la station de quarantaine.
Au total, pendant les 105 années d’existence de la station de quarantaine, 7 553 immigrants sont enterrés dans un des trois cimetières de la Grosse île.
Pour notre première sortie de 2010, en compagnie de nos amis Gilbert et Johanne, nous avons planifié une fin de semaine dans la région de Chaudière-Apalache. Plus précisément, nous sommes allés camper à Montmagny avec le but d'aller visiter la Grosse île ou l'ile de la
quarantaine. Nous avons profité de la fin de semaine de la fête de la Reine, de Dollars ou des Patriotes dépendant le choix que vous en faites pour mettre notre plan à execution. 3 jours de paix, de plaisirs et surtout de très grand beau et chaud temps.Après nous être retourvé au Camping de Pointe aux oies à Montmagny où nous avions des sites spacieux et agréables sur le bord du fleuve, nous avons débuté notre fin de semaine par une petite balade en vélo dans les rues de Montmagny, histoire de compléter nos emplètes de victuailles. Notre premier souper était composé de homards et de crabes pour célébrer les anniversaires de nos hommes qui chaque année veillissent la même journée. Je vous laisse imaginer le plaisir que nous avons eu à cuire et surtout à déguster ces petites (pas si petites que ça) bêtes en pleine air.... Après un bon souper, un agréable moment autour d'un feu de camp à admirer les é
toiles, l'heure du couché était déjà là.C'est sous un magnifique soleil que nous nous sommes réveillés et après un petit déjeuner et une préparation de pique nique dans la bonne humeur, nous voici partis vers le quai de Berthier où nous embarquions sur un zodiaque en direction de la Grosse Île.
Située au milieu fleuve Saint-Laurent, la Grosse-Île surplombe l'archipel de L'Isle-aux-Grues. Longue de 2,9 km sur 1 km de large, située dans l’estuaire du Saint-Laurent, à 46 km en aval de Québec, ce fut la station de quarantaine pour le port de Québec en étant la principa
le porte d'entrée des immigrants au Canada jusqu'à la Première Guerre mondiale. Témoin de drames humains et de dévouement exceptionnel du personnel, la Grosse Ile, ou plus 7000 personnes sont enterrées dont la majorité étaient des victimes des épidémies de typhus et de choléra, a marqué 
l’histoire de notre pays.Une pandémie de choléra provenant de l’Inde se propage à partir de 1826 et frappe les Îles Britannique à partir de 1831. La Chambre du Bas-Canada vote une loi qui permet d’ouvrir la Grosse île, dès le printemps 1932, comme station de quarantaine, afin de protéger les colonies. Malheureusement, cette précaution se solde par un échec et prêt de 4000 personnes décèderons du choléra à Québec en 1842.
Dès 1830, l’Irlande dont la population à subit un boom démographique sans précédant, avec une population de plus de 8 millions d’habitants, connaît une succession de mauvaises récoltes qui accentuent les problèmes alimentaires car le pays est frappé par le mildiou, un champignon s’attaquant aux plants de tom
ates et de pommes de terre. Ce qui engendre une terrible famine, la pomme de terre étant l’aliment de base de la population. Afin de fuir la grande famine et de rechercher un avenir meilleur, 100 000 immigrants dont 95% proviennent d’Irlande arrivent au QuébecDe ces 100 000 immigrants quittant l’Europe vers le Canada, 20 % décèdent avant d’atteindre leur destination. Malgré tous les efforts mis en place, uniquement en 1832, 5 424 personnes seront enterrées à la Grosse Île. Le typhus, et la diphtérie sont les causes premières de ce taux de mortalité inhabituel, touchant autant les immigrants que le personnel
dévoué de la station de quarantaine.Au total, pendant les 105 années d’existence de la station de quarantaine, 7 553 immigrants sont enterrés dans un des trois cimetières de la Grosse île.
Malgré tout cette visite n'est pas macabre. Le lieu est splendide, les guides sont gentils et connaissent bien leur sujet et ne manquent pas une occasion pour vous raconter la petite histoire et toutes les anecdotes qui font de l'histoire de ce lieu un récit interressant et vivant. Puis nous avons repris le zodiaque pour rentrer vers Berthierville. Il faisait toujours aussi beau et chaud. Et le retour vers la terre ferme fut une partie de plaisir.
En débarquant, un coup de cellulaire nous annoncé que nos amis Yvan et Lyne nous attendaient en compagnie de Raphael à la fith wheel. Nous nous sommes dépêchés d'aller les rejoindre pour l'apéro, le souper et un super feu de camp. Le plaisir et les rires étaient évidement au rendez-vous et nous en avons un très bon souvenirs. Seule la chaleur étouffante de la nuit, nous laissera à tous un souvenir peu agréable. Le lendemain, après un bon petit déjeuner avec Yvan et sa petite famille, Gilbert et Johanne sont partis tôt pour essayer de voir 
leur fille, nous avons nous aussi repris la route vers Rimouski. C'est à La Pocatière que nous avons fait une halte où nous avons retrouvé Serge, Kathy et les enfants qui repartaient pour Montréal. Nous avons pique niqué ensemble sur le bord du fleuve, toujours sous un magnifique soleil. Puis nous sommes repartis chaqu'un de notre bord de la 20....
leur fille, nous avons nous aussi repris la route vers Rimouski. C'est à La Pocatière que nous avons fait une halte où nous avons retrouvé Serge, Kathy et les enfants qui repartaient pour Montréal. Nous avons pique niqué ensemble sur le bord du fleuve, toujours sous un magnifique soleil. Puis nous sommes repartis chaqu'un de notre bord de la 20....Quelle belle première sortie. Merci à tous mes amis présents, plus vieux et plus jeunes.