Wellfleet – Provincetown
Enfin, c’est le soleil qui nous réveille ce matin. Il me semble que depuis que nous sommes partis, il n’y en a pas eu beaucoup de matin où on peut petit déjeuner dehors avec plaisir. La chaleur aussi est au RDV. Ça part bien la journée. Après une préparation rapide de pic nique, nous voilà partie en direction de Princetown qui est l’extrême pointe de Cape Cod.
La circulation ce matin est aussi dense que notre entrée sur la presqu’île hier. L’humeur de mon chummy s’embrunit au fur et à mesure que les km se font. Nous arrivons enfin à Race Point qui semble-t-il est une des plus belles plages de Cape Cod. On aperçoit une bande de dunes qui laissent prévoir une splendide plage sur l’océan atlantique. Ce que les guides ne vous disent pas, c’est que pour atteindre la plage, vous devez marcher 20 minutes dans une trail de sable dans les dunes. En ce qui me concerne, je n’en suis pas très offusquée mais ce n’est pas le cas de mon grognon qui ne tarie pas « d’éloges » sur ces fous qui font 2 à 3 heures d’embouteillage pour marcher pendant 20 minutes dans le sable où ça ne marche pas bien, et tout ça pour venir sur la plage….. Je vous laisse imaginez le topo….. Cependant la plage est bien belle même si je m’attendais à plus spectaculaire. Nous flânons et marchons quelques temps sur la plage, essayons d’imaginer comment les campeurs qui sont installés sur la plage arrivent jusque là sans s’enfouir dans le sable, puis nous repartons pour aller visiter Provincetown.
Le village de Provincetown est assez mignon et c’est le village où les homophones ne sont pas les biens venus. En effet Provincetown est très très gay. C’est la liberté de vivre. Les couples de même sexe abondent, les originaux s’affichent et tous s’en donnent à cœur joie. Malgré la faune bigarrée qui déambule là, le village est jolie et les maisons typiques. Beaucoup de « Beach grass » partout à cause des dunes. Raynald n’aime pas cela, il trouve que ça fait abandonné. Décidément, ce n’est pas son coin favori. Pourtant, je n’ai vraiment pas l’intention de le laisser là….. Nous revenons vers Wellfleet en essayant de prendre les petites routes pour éviter la circulation sur la route principale mais c’est sans succès. Résultat, le pic nique, c’est à la fith wheel qu’on le fait. Je me plonge dans mon livre, histoire de laisser reposer l’homme qui sera de meilleure humeur après une belle sieste à l’ombre des pins. C’est aussi ça les vacances.
Vers 16h nous repartons à la découverte des environs. Nous allons découvrir la Marconi Beach qui se trouve juste à côté de nous. Ça c’est magnifique, splendide, à couper le souffle et pas de 20 minutes de marche dans le sable. Nous sommes sous le charme. C’est la plus belle plage que nous ayons vue jusqu’à maintenant. Nous en profitons pour marcher un bon moment sur la plage et apprécier le ciel bleu, le souffle marin léger et le soleil qui nous chauffe la couenne. Les enfants ont fait des châteaux de sable qui sont en train de se faire mangés par la marée montante. L’eau est tout à fait baignable bien qu’elle ne soit pas des plus chaudes. Nous regrettons de ne pas être venus ici ce matin. Nous aurions évité circulation et grommelage…. Tout prêt de là , nous allons visiter la station Marconi. Bien que le bâtiment ne soit plus là, une maquette représente la station telle qu’elle était en 1903. C’est à partir de cette station que l’inventeur italien Guglielmo Marconi(1874-1937) réalisa son rêve le plus cher, soit la première communication transatlantique sans câble entre les Etats-Unis et l’Angleterre. Un message du président des Etats-Unis (Roosevelt) au roi d’Angleterre (Henry VII) transmis le 18 janvier 1903. Du haut de la falaise de 26 mètres, on découvre la plus belle vue de Cape Cod. Nous restons sans voie. En plus, des phoques dans l’eau nous font tout un show. Nous restons là à admirer le paysage. Quel repos, quel apaisement.
Deux heures plus tard, nous décidons d’aller nous chercher un homard pour souper. Ils sont un peu plus chers que dans le Maine mais c’est quand même abordable. Mon chum décide que ce soir nous faisons la fête. C’est un homard de 5 ½ livres parfaitement cuit que nous ramenons à la fith wheel. Quel régal. Je n’ai jamais mangé un homard si gros. Raynald non plus d’ailleurs. Il est particulièrement bon. Mais il est vraiment très gros et nous en avons encore quelques bons morceaux pour un lunch demain. Je vous laisse apprécier le bétail.
La circulation ce matin est aussi dense que notre entrée sur la presqu’île hier. L’humeur de mon chummy s’embrunit au fur et à mesure que les km se font. Nous arrivons enfin à Race Point qui semble-t-il est une des plus belles plages de Cape Cod. On aperçoit une bande de dunes qui laissent prévoir une splendide plage sur l’océan atlantique. Ce que les guides ne vous disent pas, c’est que pour atteindre la plage, vous devez marcher 20 minutes dans une trail de sable dans les dunes. En ce qui me concerne, je n’en suis pas très offusquée mais ce n’est pas le cas de mon grognon qui ne tarie pas « d’éloges » sur ces fous qui font 2 à 3 heures d’embouteillage pour marcher pendant 20 minutes dans le sable où ça ne marche pas bien, et tout ça pour venir sur la plage….. Je vous laisse imaginez le topo….. Cependant la plage est bien belle même si je m’attendais à plus spectaculaire. Nous flânons et marchons quelques temps sur la plage, essayons d’imaginer comment les campeurs qui sont installés sur la plage arrivent jusque là sans s’enfouir dans le sable, puis nous repartons pour aller visiter Provincetown.
Le village de Provincetown est assez mignon et c’est le village où les homophones ne sont pas les biens venus. En effet Provincetown est très très gay. C’est la liberté de vivre. Les couples de même sexe abondent, les originaux s’affichent et tous s’en donnent à cœur joie. Malgré la faune bigarrée qui déambule là, le village est jolie et les maisons typiques. Beaucoup de « Beach grass » partout à cause des dunes. Raynald n’aime pas cela, il trouve que ça fait abandonné. Décidément, ce n’est pas son coin favori. Pourtant, je n’ai vraiment pas l’intention de le laisser là….. Nous revenons vers Wellfleet en essayant de prendre les petites routes pour éviter la circulation sur la route principale mais c’est sans succès. Résultat, le pic nique, c’est à la fith wheel qu’on le fait. Je me plonge dans mon livre, histoire de laisser reposer l’homme qui sera de meilleure humeur après une belle sieste à l’ombre des pins. C’est aussi ça les vacances.
Vers 16h nous repartons à la découverte des environs. Nous allons découvrir la Marconi Beach qui se trouve juste à côté de nous. Ça c’est magnifique, splendide, à couper le souffle et pas de 20 minutes de marche dans le sable. Nous sommes sous le charme. C’est la plus belle plage que nous ayons vue jusqu’à maintenant. Nous en profitons pour marcher un bon moment sur la plage et apprécier le ciel bleu, le souffle marin léger et le soleil qui nous chauffe la couenne. Les enfants ont fait des châteaux de sable qui sont en train de se faire mangés par la marée montante. L’eau est tout à fait baignable bien qu’elle ne soit pas des plus chaudes. Nous regrettons de ne pas être venus ici ce matin. Nous aurions évité circulation et grommelage…. Tout prêt de là , nous allons visiter la station Marconi. Bien que le bâtiment ne soit plus là, une maquette représente la station telle qu’elle était en 1903. C’est à partir de cette station que l’inventeur italien Guglielmo Marconi(1874-1937) réalisa son rêve le plus cher, soit la première communication transatlantique sans câble entre les Etats-Unis et l’Angleterre. Un message du président des Etats-Unis (Roosevelt) au roi d’Angleterre (Henry VII) transmis le 18 janvier 1903. Du haut de la falaise de 26 mètres, on découvre la plus belle vue de Cape Cod. Nous restons sans voie. En plus, des phoques dans l’eau nous font tout un show. Nous restons là à admirer le paysage. Quel repos, quel apaisement.
Deux heures plus tard, nous décidons d’aller nous chercher un homard pour souper. Ils sont un peu plus chers que dans le Maine mais c’est quand même abordable. Mon chum décide que ce soir nous faisons la fête. C’est un homard de 5 ½ livres parfaitement cuit que nous ramenons à la fith wheel. Quel régal. Je n’ai jamais mangé un homard si gros. Raynald non plus d’ailleurs. Il est particulièrement bon. Mais il est vraiment très gros et nous en avons encore quelques bons morceaux pour un lunch demain. Je vous laisse apprécier le bétail.
1 commentaire:
Wow!!! C'est très amusant la façon dont tu décris la journée et nous avons l'impression d'être en voyage avec vous!
Et puis quel homard!!!
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