Lower New Annan (PEI) – Seafoam (Nova Scotia)
270 km
C’est un soleil radieux qui nous a réveillés ce matin mais il ne faisait pas chaud du tout. Il semblerait que le thermomètre a descendu à 13 degrés durant la nuit. Pas chaud, pas chaud. Mais nous dans notre petit cocon, on été très bien.
Pendant que Raynald me prépare mon petit déjeuner, je m’empresse d’aller prendre quelques photos du héron qui lui aussi prend son petit déjeuner. La baie de Malpeque est si calme que l’on dirait de l’huile et l’oiseau est superbe et assez confiant pour me laisser approcher relativement. Nous passerons ensemble un bon moment. Tout est calme et paisible comme le sont souvent les petits matins lumineux comme celui-là.
Pendant que Raynald me prépare mon petit déjeuner, je m’empresse d’aller prendre quelques photos du héron qui lui aussi prend son petit déjeuner. La baie de Malpeque est si calme que l’on dirait de l’huile et l’oiseau est superbe et assez confiant pour me laisser approcher relativement. Nous passerons ensemble un bon moment. Tout est calme et paisible comme le sont souvent les petits matins lumineux comme celui-là.
Aujourd’hui, nous prenons la route vers la Nouvelle-Ecosse. Après avoir repassé le pont de la Confédération, nous bifurquons rapidement vers les petits routes qui nous ferons suivre la côte en direction de Pictou. C’est à Seafoam que nous trouvons un petit camping. Après avoir mangé un petit morceau, nous voilà partis à la découverte de Pictou à environ 28 km de Seafoam.
Pictou est la ville où les premiers 200 émigrants écossais sont arrivés en 1773 sur un petit bateau le Hector. C’était un bateau Hollandais dont on peut visiter aujourd’hui la réplique exacte au quai de Pictou. Ce n’est pas un grand bateau et on a du mal à imaginer qu’il y avait 200 hommes et femmes là-dessus et surtout que cette coquille de noix à traversée l’Atlantique…
Cette petite ville est absolument ravissante. On ressent beaucoup l’influence écossaise partout dans la ville. Les lampadaires sont tous décorés avec un tartan de famille écossaise. Il y a de magnifiques anciennes maisons et le port est tout à fait coquet. Quelques belles murales relatent le passé de Pictou.
Nous nous sommes promenés dans le port et dans les petites rues, nous avons même assisté à un petit spectacle d’une violoniste et d’un guitariste qui faisait de la musique traditionnelle qui est très influencée par la musique écossaise. Admiré un sculpteur en plein travail qui commençait une sculpture de homard. Nous avons mangé une crème glacée délicieuse et profité du beau temps en flânant dans ce ravissant petit village.
Puis nous sommes rentrés au camping, pour souper. Pour ceux que ça intéresse, nous commençons à apprivoiser le nouveau GPS. Je ne l’aime toujours pas mais je commence à trouver qu’il n’est quand même pas si pire. Je l’ai quand même baptisé « Charlie », histoire de ne pas le confondre avec « Calamity » (Nextar).
Pictou est la ville où les premiers 200 émigrants écossais sont arrivés en 1773 sur un petit bateau le Hector. C’était un bateau Hollandais dont on peut visiter aujourd’hui la réplique exacte au quai de Pictou. Ce n’est pas un grand bateau et on a du mal à imaginer qu’il y avait 200 hommes et femmes là-dessus et surtout que cette coquille de noix à traversée l’Atlantique…
Cette petite ville est absolument ravissante. On ressent beaucoup l’influence écossaise partout dans la ville. Les lampadaires sont tous décorés avec un tartan de famille écossaise. Il y a de magnifiques anciennes maisons et le port est tout à fait coquet. Quelques belles murales relatent le passé de Pictou.
Nous nous sommes promenés dans le port et dans les petites rues, nous avons même assisté à un petit spectacle d’une violoniste et d’un guitariste qui faisait de la musique traditionnelle qui est très influencée par la musique écossaise. Admiré un sculpteur en plein travail qui commençait une sculpture de homard. Nous avons mangé une crème glacée délicieuse et profité du beau temps en flânant dans ce ravissant petit village.
Puis nous sommes rentrés au camping, pour souper. Pour ceux que ça intéresse, nous commençons à apprivoiser le nouveau GPS. Je ne l’aime toujours pas mais je commence à trouver qu’il n’est quand même pas si pire. Je l’ai quand même baptisé « Charlie », histoire de ne pas le confondre avec « Calamity » (Nextar).
1 commentaire:
Bonne fête Belle Manüe!
Comme par les années passées vous semblez avoir beaucoup de plaisir. Vous voyez de très belles choses que tu nous décris magnifiquement, on se croirait presque sur place avec vous. C'est bien intéressant de vous suivre.
Bravo! Et encore une fois une très agréable fête. Je suis avec vous par la pensée.
Ghislaine
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